Chers Collègues, chers partenaires 

Mieux servir. C’est le défi que nous avons cherché à relever en nous attelant à une refonte plus ou moins conséquente du site web de la Direction Générale des Douanes et Droits Indirects (DGDDI). Celui-ci n’est plus le même sans pour autant devenir un autre. A l’origine de cette métamorphose, le recours aux nouvelles technologies, celles-la mêmes qui ont rendu possible la dématérialisation de la procédure douanière dont nous ne sommes pas aujourd’hui peu fiers. Or, l’utilisation de ces technologies de pointe est synonyme de nouvelles opportunités en ce sens où cela nous permet de repousser nos limites et d’améliorer par ricochet la qualité des services aux usagers. C’est la tâche à laquelle nous nous sommes employés en retravaillant à la fois les aspects techniques et visuels de notre site dont la configuration actuelle offre une multitude de nouvelles fonctionnalités. 

Le but recherché est double. Il s’agit d’abord de créer les conditions d’une plus grande proximité entre l’administration douanière et tous ceux et celles qu’elle a pour mission de servir au quotidien. Il s’agit ensuite de forger par nous-même les instruments nécessaires à une plus grande autonomie des usagers. Délais de traitement extrêmement limités dans le temps, réduction des coûts, moins de déplacements, moins de paperasse… Vous l’aurez compris : dans cet environnement de travail entièrement numérisé, la rupture avec les archaïsmes du passé est consommée.

L’usager, désormais autonome et mieux informé, opère à distance et se coordonne en temps réel avec les services douaniers, s’assurant ainsi un suivi au plus près des opérations. C’est la tâche à laquelle nous nous sommes employés en retravaillant à la fois les aspects techniques et visuels de notre site dont la configuration actuelle offre une multitude de nouvelles fonctionnalités. L’usager, désormais autonome et mieux informé, opère à distance et se coordonne en temps réel avec les services douaniers, s’assurant ainsi un suivi au plus près des opérations.

Il n’est plus observateur mais devient acteur dès lors que l’on considère la somme d’informations qu’il reçoit en permanence et les possibilités d’interaction qui lui sont offertes en retour. Autant le dire tout de suite : ici, à la DGDDI, nous avons en partage la conviction profonde que rehausser la qualité de nos prestations implique nécessairement l’obligation d’être en phase avec les progrès techniques et technologiques de notre temps. C’est le seul moyen d’apporter des réponses à la hauteur aux attentes des usagers et d’ouvrir la voie à des perspectives encore plus prometteuses.